Définitivement pour moi, (Russian Doll) est la meilleure série de ce début d'année 2019. 

Tout d'abord pour son histoire qui m'a rappelé un film avec Bill Muray sortie dans les 90's que j'avais adoré - UN JOUR SANS FIN ! Puis pour sa mise en scène d'une grande précision, digne de David Fincher par moment (Fight Club) et sa bande originale variée et entêtante (I GO TO SLEEP !)

Mais POUPEES RUSSES c'est quoi en fait ?


C'est l'histoire d'une trentenaire, fêtarde invétérée, qui ne cesse de mourir et de reprendre vie au même moment, dans les toilettes, à sa fête d'anniversaire.
Mais pourquoi ? Quelles raisons font que cela se produise ? Est-elle coincée dans une dimension parallèle ? Et qui est Allan, cet homme qu'elle trouve sur son chemin et qui vit la même chose qu'elle ? Beaucoup d'humour, de tendresse et de rebondissements vont accompagner ces deux personnages vers leur épanouissement. Les dialogues sont extrêmement bien construits et les situations ont toutes un symbolisme capable de nous faire réfléchir sur notre vie et l'impact que nous pouvons avoir sur les autres.

Disponible depuis le 1er février sur la plateforme,  POUPEES RUSSES a en quelques jours récolté telle une pluie d'éloges auprès de la presse outre-Atlantique qu'elle en a décroché un score de 100% sur le site Rotten Tomatoes.

Le populaire agrégateur des critiques n'a en effet recensé que des spécialistes des séries recommandant vivement cette comédie noire -écrite et produite par Natasha Lyonne ("Orange Is the New Black"), Amy Poehler ("Parks & Recreaction") et Leslye Headland- de huit épisodes d'à peine trente minutes chacun.


Peut-être que certains auront besoin d'explications pour comprendre pleinement le final et d'autres reconnaîtront le concept de la Connexion des Coeurs en psychologie tout au long de l'histoire.
Nos rencontres ne sont pas dûes au hasard et elles nous font toujours (re) découvrir une part de nous-mêmes passée, présente et future...
Une aventure sans lendemain mais avec en même temps de multiples aujourd'hui...
RUSSIAN DOLLS nous raconte tout ça.